lundi 5 novembre 2012

Island : une chanson en hébreu


Une chanson israélienne qui me va au cœur qui a pour titre anglais Island. Elle a la conclusion du fils d'Arcady "Comme les doigts de la main". Voici les paroles en hébreu et en français

הנה שוב מתחיל הבוקר, שנינו שוב פוקחים עיניים
הנה שוב השיר שלך את מתעוררת לעולם
אני קם ראשון בינינו, יש דברים קטנים עדיין
בואי ונפתור אותם, כדי שיהיה מושלם


הנה שוב את מתמכרת, לרגשות ומספרת
שחלמת עליי בלילה, שהבאתי לך פרחים
נשיקות קטנות בבוקר, נשיקות קטנות בערב,
תסתכלי החוצה הנה, השמיים מאירים.





רק לפעמים באמצע צחוק, על הפנים

משתוללת כאן סופה, כמו באיסלנד

מה קורה לנו כשרע לנו בפנים?

את חוזרת מהכפור
אני בא חשוף באור
ומחבק אותך חיבוק שלא נגמר
ולוחש: "אלמלא היית כאן, אין לי שום מחר".


הנה שוב מתחיל הבוקר, הנה שוב פוקחים עיניים
אתה רחוק כמו סן-פרנסיסקו, את אומרת תתקרב
נשיקות קטנות בבוקר, אני מנשק לך ת'עיניים
ושואל תירצי קפה, ומתכוון לומר אני אוהב.

En phonétique


Hineh shuv mat'chil haboker,
shneinu shuv pok'chim einaim

Hineh shuv hashir shelach,
at mit'oreret la'olam,ani kam rishon beineinu,
yesh dvarim k'tanim adain,
bo'i venif'tor otam,
kedei sheyihyeh mush'lam.

Hineh shuv at mit'makeret,
lar'gashot umesaperet

Shechalamt alai balailah,
sheheveti lach prachim
neshikot k'tanot baboker,
neshikot k'tanot ba'erev,
(ti)s'takli hachutzah hineh, hashamaim me'irim

Rak lif'amim be'emtza tz'chok, al hapanim

Mish'tolelet kan sufah, k'mo be'Island
mah koreh lanu k'shera lanu bifnim?
At chozeret mehak'for
ani ba chasuf ba'or
um'chabek otach chibuk she'lo nigmar
velochesh: "ilmale hayit kan, ein li shum machar."

Hineh shuv mat'chil haboker,
hineh shuv pok'chim einaim

Atah rachok k'mo San Francisco,
at omeret, tit'karev
neshikot k'tanot baboker,
ani m'nashek lach ta'einaim
vesho'el tirtzi kafeh, umit'kaven lomar ani ohev.

Ki lif'amim be'emtza tz'chok, al hapanim...


Et la traduction en français. C'est approximatif et maladroit. Mais j'ai fait ce que j'ai pu.


Le matin se lève une fois encore,
Et tu dévoiles ta chanson au monde entier,
Je me lève le premier. Il reste entre nous des malentendus
Que nous allons devoir résoudre pour que tout soit parfait

Te voila encore ivre de sommeil, pleine d'émotions
Je rêve de toi, que tu m'apportes des fleurs,
Que tu me donnes des baisers le matin, des baisers le soir.
Regarde dehors comme est belle la lumière.

Quelques fois tu souris, puis soudain tu t'emportes comme une tempête d'Islande,
Pourquoi autant de colère entre nous?
Tu reviens froide. J'arrive illuminé.
Je t'enlace tendrement et sans fin, chuchotant : "Je ne pourrais vivre sans toi!"

Le matin se lève encore,
Tu es aussi loin que San-Francisco, et tu me dis, rapproche toi...
Des baisers le matin, des baisers le soir,
Je te demande si tu veux du café,
Je veux dire : je t'aime!

Quelques fois tu souris, puis tu t'emportes comme une tempête d'Islande,
Pourquoi autant de colère entre nous?
Tu reviens glacée. J'arrive illuminé.
Je t'enlace tendrement et sans fin, chuchotant : "Je ne pourrais vivre sans toi!"

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